Partie I : Notre environnement proche.
Chap. 2 : La répartition des ê.v dans notre environnement.
Constat : Nous avons pu observer dans le chapitre 1 que des êtres vivants occupent notre environnement mais aussi que l'on ne trouve pas forcément les mêmes êtres vivants si on compare des lieux différents.
- Comment expliquer la répartition des êtres vivants ?
- De quels facteurs peut-elle dépendre ?
1. : La répartition des ê.v au cours de la journée.
Dans un même lieu, certains animaux sont visibles seulement la journée et d'autres seulement la nuit. Cette répartition dépend des caractéristiques physiques de cet environnement, telles que la température et l'éclairement, qui peuvent varier au cours de la journée.
Nocturne : Les animaux nocturnes sont actifs (chasse, recherche de nourriture, etc ...) pendant la nuit. Pendant la journée ils se reposent dans leur nid, terrier ou autre abris.
Diurne : Au contraire, les animaux diurnes sont actifs pendant la journée et se reposent dans leurs abris pendant la nuit.
Voir manuel p. 26 et 27.
2. : La répartition des ê.v en fonction des causes locales.
En fonction du relief et/ou de l'exposition, la température et l'éclairement peuvent varier localement. De même la présence ou l'absence d'un sol ou d'eau ( humidité ) peuvent déterminer la présence ou l'absence d'êtres vivants et donc leur répartition dans l'environnement.
Voir manuel p. 28 et 29.
3. : La répartition des ê.v et l'action de l'homme.
En construisant des habitations, des routes, voies ferrées, ... , en asséchant des marais ou encore en effectuant des plantations, l'homme réalise des aménagements et transforme son environnement. Ces ouvrages peuvent perturber les animaux dans leurs déplacements ou modifier les caractéristiques physiques locales (éclairement, nature des sols, ...). Mais l'homme peut aussi adapter ces ouvrages pour en limiter l'impact sur les êtres vivants. Par ses actions, l'homme modifie donc la répartition des êtres vivants.
Voir manuel p. 30 et 31. Crapauds
Conclusion :
M. RAMIERE - Février 2007.
